Le charme des MMORPG asiatiques dans votre main
Il y a quelques années que les MMORPG signés en Orient ont laissé sentir leur influence à la culture occidentale. AION et Lineage II sont seulement deux noms d’une longue liste que, grâce à l’apparence de leurs personnages, leurs trames et l’esthétique anime, ont réussi à trouver leur place dans le cœur des utilisateurs.
Silkroad Online offre aux joueurs un titre avec des ingrédients d’action, des éléments de fantaisie et une communauté active.
Dans ce sens, Silkroad Online est parfaitement capable de relayer ses prédécesseurs. Ses thèmes visuels sont parfaitement en syntonie avec les éléments fonctionnant habituellement en Occident et en plus le jeu peut se télécharger et y jouer gratuitement.
À travers l’histoire et les continents
L’histoire se concentre sur l’essor et la chute de la Route de la Soie au VIIIe siècle. L’action a lieu en Chine, en Persie et en Europe et les joueurs pourront s’y lancer à travers trois classes principales :
- Bicheon, orientée aux tank et au combat de courte distance.
- Heuksal, pensé pour les personnages de DPS en combat de courte distance.
- Pacheon, dirigée pour sorciers, guérisseurs et autres personnages d’attaque à longue distance.
Dans certains aspects, le jeu peut sembler trop « asiatique », ave es éléments un peu étranges et enfantins. Cependant, si vous pouvez les ignorer, vous allez aussi pouvoir profiter de caractéristiques comme les suivantes :
- Trois classes principales, chacune avec trois skins disponibles.
- Un grand monde à explorer.
- Communauté de joueurs active.
- Les contenus classiques de Silkroad Online viennent compris.
Conditions et information supplémentaire :
- Système d’exploitation minimum requis : Android 6.0.
- Achats in-app intégrés.
- Instructions pour installer un XAPK sur Android
Bonjour tout le monde! Je m’appelle Sergio Agudo et j’adore la science, l’informatique et les jeux-vidéo. Déjà en étant enfant les ordinateurs et les petites machines de jeux des années 80 m’hypnotisaient, et à cette obsession il faudrait...
Lauriane Guilloux